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Finances communales : l’heure du bilan

Finances communales : l’heure du bilan

A quelques jours du scrutin qui dessinera l’avenir de notre commune, nous avons voulu évoquer, avec objectivité, le bilan de la majorité sortante mais surtout l’héritage financier particulièrement inquiétant qui pèsera sur les épaules des futurs dirigeants.

Le 2 octobre dernier, la majorité sortante (composée des groupe La Relève & Le Bon Sens) a présenté aux membres du Conseil communal son 3ème ajustement budgétaire pour cette année 2024. L’occasion pour le groupe EPY de dresser le bilan financier de cette législature. Un bilan dont les 2 groupes précités sont totalement responsables.

Que retenir ?

  • Des taxes communales qui ont augmenté
  • Un budget 2024 présenté en déficit (comblé grâce aux réserves financières)
  • Des réserves financières diminuées
  • Un endettement global doublé entre 2023 et 2024… et triplé depuis 2018
  • Des remboursements d’emprunts qui auront quasi doublé l’an prochain

Les chiffres 2018 et 2023 sont extraits des documents comptables présentés par la Directrice financière de la commune.
Les chiffres 2024 sont ceux présentés par la majorité, en sachant que la réalité devrait s’en rapprocher très fortement vu les projets votés et verrouillés cette année (plus d’explications ci-dessous).

Même le journal l’Echo confirme ce constat avec les chiffres qu’ils publient sur le site : https://multimedia.lecho.be/elections-communales-2024/commune/Yvoir et où on constate que rien qu’entre 2018 et 2022, la dette a bel et bien grimpé de 30%.

Alors que, dans son dernier tract de la campagne de 2018, La Relève s’engageait pourtant à « une gestion rigoureuse des finances communales » et déclarait dire « non aux investissements surdimensionnés », … que s’est-il donc passé ?

L’une des raisons : une concentration de très gros investissements gérés, pour la plupart, par des élus du groupe Le Bon Sens et dont le financement n’a pas toujours été optimalisé. Pour ne citer que quelques exemples :

  • Salle de Mont : estimée dans sa première version à 2,2 millions €, le nouveau projet (moins grand et beaucoup moins équipé !) coûtera plus de 3 millions €, dont 2 sur fonds propres.
  • Salle d’Evrehailles : dont la reconstruction coûtera environ 1,5 million € à charge totalement de la commune alors qu’avec un peu d’anticipation, on aurait pu décrocher un subside.
  • Aire pour motor-homes à Spontin : annoncés pour 400.000 €, les travaux coûteront près de 800.000 € dont 500.000 € sur fonds propres ! Était-ce la dépense prioritaire pour doper le tourisme dans nos villages ?
  • Complexe de Purnode : estimé au départ à 650.000 €, il a coûté près de 1,2 million €, dont 800.000 € sur fonds propres. Avec un peu de patience, le même bâtiment aurait pu bénéficier de subsides plus conséquents et coûter 500.000 € de moins à la caisse communale !
  • Aménagements cyclables : 300.000 € pour des bandes jaunes à Dorinne et Spontin qui n’aboutissent sur aucun autre cheminement sécurisé.
  • Ecole de Dorinne-Spontin : estimée en 2021 à 3,5 millions €, son coût s’élèvera à plus de 6 millions €, dont 3 à charge de la caisse communale.
  • Liaison cyclopédestre rue du Pont à Godinne, estimée sous l’ancienne mandature à 130.000 € et que la majorité à réalisé avec un coût multiplié par 3 au moins !
  • Futur centre sportif de Godinne, dont l’estimation s’élevait en 2018 à +/- 2 millions € et qui approche désormais les 5 millions €.

Mais, rien que pour 2024, qu’en est-il ?

Les nouveaux investissements sont présentés pour une somme totale de 16 millions €, dont 12 devront être financés par emprunt (qui devront être contractés l’an prochain). Ces investissements concernent notamment l’école de Dorinne-Spontin, la maison des associations de Godinne, l’agrandissement de la maison communale, l’aire pour camping-cars à Spontin, …

Contrairement aux affirmations de La Relève lors du récent débat organisé par MaTélé, notre chef de file Bertrand Custinne (dont chacun connait la maîtrise des chiffres…), sait parfaitement faire la différence entre un « budget » (= prévisions) et un « compte » (= bilan de l’année écoulée). Et c’est justement cette expertise qui lui permet d’affirmer que les décisions prises par la majorité tout au long de cette année 2024 au sujet notamment de ces « gros » dossiers précités généreront un compte finalement fort proche des prévisions et que les dépenses ont explosé sous cette seule année.

Et pour la suite ?

Parmi les dossiers dans le « pipeline », on retrouve celui de la salle d’Evrehailles et du Complexe sportif de Godinne qui s’imposeront plus que probablement à la future majorité, quelle qu’elle soit, non sans compliquer d’autant plus la situation financière de la commune.

D’où notre grand étonnement à la lecture du programme électoral du groupe LBS qui, en page 2, annonce que « la commune devra encore débourser près de 10 millions d’euros pour réaliser les projets en cours » ; sans compter les dizaines de nouveaux projets qu’ils envisagent.

Et d’ajouter que l’unique solution avancée publiquement par leur tête de liste était de vendre une partie de notre patrimoine ; les fameux « bijoux de famille » auxquels un certain Ovide Monin, leader historique du même groupe, déconseillait de toucher. Que nous restera-t-il dans quelques années ?!

Non sans préciser qu’il s’agit là de l’illustration d’une parfaite méconnaissance des rouages budgétaires. En effet, les produits de ces ventes sont versées dans une partie du budget communal qui n’est pas celle qui sera la plus difficile à boucler dans les années à venir. En clair, ça nous évitera peut-être quelques emprunts mais ça ne résoudra pas une seule seconde le véritable problème de fond.

Ils ne s’y prendraient pas autrement pour vous dire que les rêves qu’ils vous proposent seront un cauchemar pour les finances locales !

Seul EPY semble avoir une vision claire de la situation financière communale. Et nous nous engageons à tenter de l’assainir, à mieux planifier les gros projets et à optimaliser les investissements.

En outre, voici comment nous comptons travailler :

  • Dès le début de la législature :
    • établir un diagnostic objectif des dossiers en cours, vérifier le planning, la pertinence et la soutenabilité de chacun d’eux…
    • planifier les investissements, tant sur l’aspect budgétaire que sur le timing
    • étudier les missions prioritaires, celles qui peuvent être assumées par nos agents et celles qu’il convient d’abandonner ou d’ajuster.
  • Mettre la priorité sur la gestion et l’entretien de ce qui existe.
  • Entreprendre de nouveaux projets sur base des besoins réels (… et pas en galopant derrière le moindre appel à projets comme ce fût le cas ces dernières années !) en recherchant, pour chacun, les meilleures optimalisations financières.
  • Œuvrer avec équité dans l’intérêt général
  • Communiquer régulièrement et avec sincérité

Ce dimanche, optez pour le changement et une gestion plus humaine et plus professionnelle de notre commune.

12 millions € de nouveaux emprunts en 2024  : de la pure folie !

12 millions € de nouveaux emprunts en 2024  : de la pure folie !

Le 29 avril dernier, la majorité (LBS et La Relève) présentait le premier ajustement budgétaire de l’année 2024. Outre quelques corrections « techniques » justifiées, c’est surtout la somme des nouveaux emprunts envisagés pour cette année – 12 millions € – qui a retenu notre attention. Pour EPY, c’est de la pure folie qui va peser sur les finances communales de nombreuses années.

Le printemps est souvent l’occasion d’approuver les comptes communaux de l’année précédentes et d’effectuer un premier ajustement budgétaire pour l’année en cours. Ce fut le cas lors de la séance du Conseil communal de ce lundi 29 avril.

Du côté des comptes 2023, près de 14 millions € ont été dépensés pour les dépenses ordinaires. Parmi celles-ci, on retrouve :

  • plus de 6 millions € de dépenses de personnel,
  • près de 2 millions € de dépenses de fonctionnement (assurances, énergie, etc.),
  • 3,3 millions € de dotations diverses (dont celle au CPAS, à la zone de secours et à la zone de police),
  • près d’1,2 million € de remboursements d’emprunts
  • et une « mise en provision » de 850.000 €.

Ces dépenses sont compensées par des recettes d’environ 15 millions €, ce qui laisse place à un boni d’1,3 million €. Celui a été réinjecté dans la comptabilité 2024.

S’agissant des ajustements au budget 2024, la plupart des nouveaux chiffres sont justifiés.

Notre groupe a cependant épinglé quelques dossiers plus spécifiques dont notamment :

  • l’école de Dorinne-Spontin pour laquelle un crédit de 5,5 millions € est toujours inscrit au budget alors que les dernières remises de prix connues dépassaient largement cette enveloppe.
  • la maison des associations de Godinne qui, selon un engagement de la majorité en 2022, ne devait pas dépasser 1 million €, TVA et honoraires d’études compris. Et qui est aujourd’hui présenté avec un budget de 1,5 million € hors honoraire.
  • Le projet de verdurisation du centre d’Yvoir qui, hors frais d’études, est envisagé pour un montant de 580.000 €.

12 millions € de nouveaux emprunts !

Le plus inquiétant de cet ajustement budgétaire est la somme des emprunts envisagés pour cette seule année. 12 millions € ! Ils devraient servir à financer certains dossiers non financés en 2023 mais aussi à des projets comme l’école de Dorinne-Spontin, la réfection des rues du Blacet et du Redeau à Yvoir, à l’aménagement de l’ancien camping de Spontin, à la maison des associations de Godinne, au complexe sportif de Godinne, …

S’ils se confirment tous, la commune aura plus que doublé son endettement global en une seule année (puisqu’au 31 décembre 2023, la somme totale de notre dette s’élevait à 10,6 millions €). Même si certains emprunts sont à taux faible voire à taux zéro, leur remboursement va considérablement peser sur les budgets communaux des 10-20-30 ans à venir. On parle d’environ 400.000 € de remboursements annuels supplémentaires… Du jamais vu, autant que de la pure folie à laquelle notre groupe ne peut souscrire.

Double langage…

Avant le vote global, les élus EPY ont demandé un vote spécifique sur le dossier de Godinne et celui de la verdurisation. Nous nous sommes abstenus sur le premier (dans l’attente d’éléments plus précis quant au montant des travaux envisagés) et nous avons voté contre le second. Tous les autres élus ont voté « OUI », non sans surprise, notamment à l’égard des élus LBS qui ne cachent pourtant pas leur manque d’enthousiasme sur ces dossiers…

Un exemple supplémentaire de la cohérence entre les paroles et les actes à laquelle le groupe EPY est farouchement attaché ; ce qui n’a pas l’air d’être le cas chez tout le monde.

Et Bertrand Custinne de conclure : « c’est bien beau de râler sur Facebook ou dans la rue mais si c’est pour ne rien dire au moment du vote…. à quoi bon ?! »

Budget 2024 : des dépenses et des emprunts records

Budget 2024 : des dépenses et des emprunts records

Comme chaque année, le dernier conseil de décembre a été l’occasion de parler « gros sous » avec les discussions et le vote du budget 2024. Pour le dernier exercice du style de cette législature, la majorité n’a pas ménagé ses efforts pour… envisager plus de 26 millions € de dépenses et ainsi exploser tous les records, y compris au niveau des emprunts ; ce qui a justifié le vote négatif des élus EPY.

A Yvoir, entre les dépenses récurrentes et les nouveaux investissements, on avait l’habitude d’avoir un budget avoisinant les 16-17 millions €. Avec plus de 26 millions de dépenses envisagées pour cette nouvelle année, jamais les finances communales n’auront été autant sous tension. Et la majorité de tenter de se justifier par l’indexation des salaires, une augmentation de la dotation du CPAS et des gros projets qui sortent en même temps. Raisons objectivement correctes mais ça n’en est pas moins réducteur ! Explications :

Dépenses de personnel : ce poste s’élève à environ 7 millions € ; soit une augmentation de 50% rien que sous cette législature. Si celle-ci s’explique en partie par l’indexation des salaires relative à la forte inflation de ces dernières années, il nous faut aussi pointer le choix délibéré de la majorité de recourir et d’engager un certain nombre d’agents avec un profil de bachelier ou d’universitaire. Si on peut partager cette décision pour l’un ou l’autre « poste-clé » dont la technicité requiert un certain degré de connaissances, nous maintenons qu’il n’était peut-être pas indispensable d’avoir autant de profils de ce type ou d’ouvrir des procédures de promotion à ce point « généreuses ». Il n’empêche qu’il faut désormais assumer et que ça pèse lourdement sur le budget.

De nouveaux emprunts pour 10 millions €.

La charge de la dette (ou le remboursement des emprunts et des intérêts qui y sont liés) est, ici aussi, en forte augmentation. De 886.000 € en 2018, ce chiffre annoncé (sur papier…) pour 2024 est de 1.255.000 € mais devrait – comme confirmé par le Bourgmestre lors de la dernière séance du Conseil communal, bondir à 1,5 voire 1,6 million € pour 2025 ! En cause : près de 10 millions € à emprunter en 2024 pour financer la part non-subsidiée de quelques « gros dossiers » (école de Dorinne-Spontin, salle de Mont, agrandissement de l’hôtel de ville, …).

La combinaison de toutes ces données, de la hausse des dossiers d’aide sociale (via le CPAS) et d’un tassement légitime des recettes fiscales ont eu pour effet d’afficher un résultat négatif de ce budget. Heureusement, des provisions sont disponibles et ont permis d’équilbrer le budget mais utiliser le bas de laine communal pour éponger des dépenses qu’on aurait pu mieux anticiper ou limiter n’est pas une solution durable. Sans compter que, notamment pour la question des emprunts, leur conséquence sur nos finances et nos capacités d’investissement vont se faire ressentir durant 15-20 ans au minimum ! Pour EPY, ce n’est pas la gestion saine et responsable que nous sommes en droit d’attendre.

Côté investissements…

On retrouve notamment la nouvelle école de Dorinne-Spontin (environ 6 millions €), les travaux de la salle La Victorieuse à Evrehailles, l’agrandissement de l’hôtel de ville (+ de 2 millions €), la rénovation de la rue du Redeau à Yvoir (+ d’1 million €)…

Au nom du groupe EPY, Bertrand Custinne a regretté qu’aucun crédit ne soit prévu pour l’entretien des espaces publics – et notamment des cimetières – alors que la majorité s’y était engagée il y a quelques mois… alors que les deux groupes de la majorité maintiennent des crédits de plusieurs centaines de milliers d’euros dans des dispositifs cyclopédestres à des endroits dont le caractère indispensable n’a toujours pas été démontré !

Nous avons également suggéré une participation des carrières aux travaux de la rue du Redeau (dont l’état est clairement imputable au charrois des camions toujours plus nombreux et plus lourds).

Ces différentes explications ont largement justifié le vote négatif que nous avons posé sur ce budget préparé par les groupes LB et La Relève.

Emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent…

Emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent…

Avec les crises successives et les prix qui s’envolent, les temps sont durs pour tout le monde, y compris pour les communes. A Yvoir, si nos réserves ne sont déjà plus ce qu’elles étaient, elles permettent encore de faire face aux contraintes actuelles. Mais elles ne sont pas éternelles. En prime, les bonis résultant des exercices budgétaires sont de plus en plus minces, au point de ne quasi plus savoir alimenter lesdites réserves. Un cercle vicieux qui appelle plus que jamais à la sobriété et à la vigilance.

Si les contraintes extérieures sont réelles, les choix politiques ne sont pas non plus étrangers à cette situation. Et c’est précisément le sens de notre intervention lors du Conseil d’avril où nous constations que la majorité envisageait d’emprunter plus de 4 millions € pour financer divers projets qu’on ne parvient plus à financer sur fonds propres. Ce qui nous amènera, pour la toute première fois, à avoir des remboursements annuels d’emprunts dépassant le million d’euros dès 2023. Et c’est sans compter ceux envisagés d’ici 2024 pour financer les probables centre sportif de Godinne, agrandissement de la maison communale, maison rurale de Godinne ou encore l’éventuelle école de Dorinne-Spontin, …

Vivre de plus en plus à crédit pèse sur nos possibilités d’économiser et d’investir sur fonds propres. Ce n’est pas la solution et ça doit nous imposer, à tous, de mieux réfléchir aux investissements et à leur efficience ; sachant que la liste des souhaits est bien plus longue que celle des possibilités. Mieux différencier l’essentiel de l’accessoire, s’assurer que l’argent investi sera correctement et pleinement utilisé, ou encore rechercher les solutions les plus avantageuses doivent s’imposer face aux tentations et aux rêves politiques les plus fous.

Bilan à mi-mandat

Bilan à mi-mandat

« Avec une capacité de travail nettement plus importante que la portion congrue qu’il représente » (dixit Ma Télé), notre groupe EPY propose, analyse, argumente, salue les efforts mais n’hésite pas non plus à pointer les erreurs ou à mettre en garde.

Parmi les sujets qui retiennent notre attention :

  • mobilité : des centaines de milliers d’euros consacrés pour des pistes cyclables, souvent là où il n’y a pas de demande réelle, alors que le projet de bus communal est toujours au point mort malgré nos rappels.
  • endettement / infrastructures : 6 gros projets en cours pour un total de 14 millions d’euros d’investissements, partiellement subsidiés mais qui, pour le solde, vont alourdir la dette communale de plusieurs millions d’euros. Nous appelons à la sobriété et a un étalement des investissements pour ne pas pénaliser les finances locales.
  • personnel communal : après plusieurs licenciements ou démissions, le malaise ne faiblit pas. Nos agents sont pourtant le véritable moteur de l’administration. Ils méritent un max d’attention et de reconnaissance !
  • sport : outre les infrastructures, nous espérons une nouvelle dynamique et de la proactivité pour accroître l’activité sportive dans nos villages et aider nos clubs.
  • concertation citoyenne : si on note des améliorations en la matière, elle reste quand même à géométrie variable et parfois tardive alors que les villageois sont demandeurs.
  • énergie : alors que l’ancienne opposition, aujourd’hui au pouvoir, en faisait l’un de ses crédos, on regrette que les seuls projets pour réduire les dépenses énergétiques soient des projets reportés de l’ancienne mandature. Nous appelons à plus d’ambition dans ce domaine, qui plus est face aux tarifs énergétiques actuels !
  • fiscalité : nous regrettons que la taxe égouts reste d’application malgré les promesses des membres de la majorité (malgré la hausse des additionnels communaux et aussi des économies importantes par rapport à la dotation communale aux services de secours). Malgré aussi notre proposition de la moduler et de la rendre plus équitable…
  • action sociale : nous saluons les efforts et la nouvelle dynamique qui s’est mise en place et que nous appelions de nos vœux en 2018. Même si du chemin reste à parcourir, nous apprécions le travail de l’équipe du CPAS. Nous attirons l’attention sur une certaine stagnation en matière de création de logements alors que la demande reste bien d’actualité…

Bien sûr, cette liste n’est pas exhaustive et nous restons à votre disposition pour en discuter si vous le souhaitez.