Category: Travaux

Verdurisation du centre d’Yvoir : restons sérieux !

Verdurisation du centre d’Yvoir : restons sérieux !

Le “Projet de maillage vert et bleu” ; voilà comment s’appelle officiellement ce dossier. Il concerne le centre d’Yvoir et vise à verduriser plusieurs espaces. Pertinent sur certains aspects comme le cimetière, il l’est beaucoup moins sur d’autre comme les aménagements envisagés Avenue de Lhonneux ou la Place des Combattants où la majorité envisage de supprimer plusieurs places de parking pour les remplacer par diverses plantations. Son coût : près de 600.000 €, sans compter celui de la main d’oeuvre pour les entretenir dans les années à venir ! Pour les finances communales, pour les commerces et les habitants concernés, EPY appelle la majorité à la raison.

Ce dossier a été présenté pour la première fois au Conseil communal en octobre 2022. Il s’agissait d’obtenir l’aval du Conseil pour rentrer la candidature de notre commune dans le cadre de l’appel à projets lancé par la Région wallonne pour améliorer la verdurisation de certains coeurs de vie. Parmi les idées avancées par les deux groupes de la majorité (La Relève ET Le Bon Sens !), on retrouve :

  1. Déminéralisation partielle de l’Avenue de Fidevoye et revégétalisation du square
  2. Amélioration et végétalisation du cimetière d’Yvoir
  3. Amélioration de l’accotement et végétalisation de la rue Puits du Champ, aux abords de la poste
  4. Déminéralisation partielle de la Place des combattants
  5. Végétalisation de l’Avenue François de Lhoneux
  6. Renforcement de la végétalisation de la Rue de l’Hôtel de ville
  7. Amélioration du Parc d’Yvoir et végétalisation partielle des berges artificielles du Bocq
  8. Végétalisation partielle de la rue de la Fenderie
  9. Végétalisation partielle du parking public situé Sur Champt
  10. Déminéralisation partielle du rond-point de la rue Sur champt
  11. Aménagement en parc d’une partie de l’ancien terrain de football Sur champt

Parmi les arguments avancés par la majorité, le besoin de “déminéraliser le centre d’Yvoir pour notamment réduire la température de quelques degrés lors de canicules”. Sérieusement, à la lueur de ces deux photos, est-on vraiment sûr qu’Yvoir ne soit pas assez “vert” ? Est-on vraiment convaincu que la flore existante est insuffisante pour nous empêcher de suffoquer lors de fortes chaleurs et que quelques plantations supplémentaires vont changer toute la donne ?

Déjà à l’époque, le groupe EPY faisait part de toute sa réserve sur certains aspects du projet. Si nous pouvons marquer notre accord sur certains points comme la verdurisation du cimetière ou de certains accotements, ou encore de l’aménagement de l’ancien terrain de foot d’Yvoir, nous sommes fermement opposés aux aménagements envisagés notamment Av de Lhonneux ou Pl. des Combattants. Dans l’intérêt des commerçants autant que des riverains, il est hors de question de réduire le nombre de places de parking et de briser la vue des habitants depuis leurs maisons. Du reste, ces aménagements nécessiteront sous peu des travaux d’entretien (taille, tontes, etc.) ; nos ouvriers sont déjà tellement sollicités par des travaux d’entretien ci et là qu’il est inutile d’en rajouter.

Depuis 18 mois, nous demandons à la majorité de retomber les pieds sur terre et nous aurions apprécié être écoutés. Mais, à l’inverse, les dirigeants communaux se sont entêtés et la candidature de la commune a été rentrée telle que proposée. Celle-ci a été retenue par les autorités régionales, ce qui a eu pour conséquence le lancement d’une étude sur l’ensemble de ces propositions. Celle-ci a été approuvée par le Conseil communal du 25 septembre 2023 à l’unanimité des membres de la majorité. Les seuls à s’opposer furent nos 3 élus EPY…

L’enveloppe budgétaire allouée à toutes ces idées s’élève aujourd’hui à 580.000 €. Une partie est subsidiée mais les récents tableaux budgétaires fournis par la majorité font quand même état d’une dépense au départ de la caisse communale, d’environ 170.000 €.

Qu’en est-il aujourd’hui ?

Le dossier est donc à l’étude et est soumis pour avis à la population. Une première séance a eu lieu début avril et une nouvelle a lieu ce soir – 25 avril – à 20h au Maka à Yvoir. Une dernière séance est prévue le 16 mai et nous encourageons chacune et chacun à y participer, surtout si, comme nous, vous trouvez que certains aspects du projet doivent être repensés voire abandonnés. Nous invitons d’ailleurs le Collège à communiquer largement, et notamment par un toutes-boîtes adressés à l’ensemble des villageois, sur l’ultime séance programmée.

Du reste, EPY s’étonne également du “réveil tardif” de certains élus de la majorité, sans doute poussés par des vents électoralistes. C’est avant tout irrespectueux du travail fourni par les employés communaux chargés du suivi de ce dossier à la suite de leurs votes successifs. Il est surtout un peu trop simple de faire croire aujourd’hui à une attention portée aux riverains alors qu’ils ont eu l’occasion, à 2 reprises, de davantage “cadrer” le projet, et ce qu’ils n’ont pas fait. Où est le bon sens de certains élus de laisser des employés réfléchir à des aménagements sur lesquels ils ne sont pas d’accord… et qu’ils comptent – sans doute – ensuite bloquer ?

De notre côté, avec constance et cohérence par rapport à nos remarques depuis 18 mois, nous continuerons à défendre des aménagements raisonnables et pertinents – surtout avec de tels montants en jeu – mais en aucun cas la remise en cause de la mobilité – déjà bien compliquée à certaines heures – au centre d’Yvoir.

Ecole de Dorinne-Spontin : encore plus cher que prévu

Ecole de Dorinne-Spontin : encore plus cher que prévu

Lors du dernier Conseil communal, le groupe EPY a demandé de faire le point sur les remises de prix des entreprises consultées pour la construction de la nouvelle école. Verdict : les offres reçues sont entre 20 et 30 % plus chères que les estimations faites par le bureau d’architecture. Ce qui, si les choses restent en l’état, devrait porter le coût de se projet à plus de 7 millions €. Inconcevable pour EPY, autant que pour la Fédération Wallonie-Bruxelles qui commence à sérieusement s’inquiéter de l’ampleur du projet. Un nouveau vote est prévu au Conseil de février.

Comme nous l’indiquions dans notre article du 21 septembre, l’accouchement de ce dossier se fait dans la douleur. D’abord conçu dans la précipitation et avec une concertation toute relative, entrainant l’incompréhension et le refus d’une grosse partie de la population, c’est désormais sur le plan budgétaire que le problème se situe. D’abord annoncé (en avril 2021) pour un budget de 3,3 millions €, hors frais d’étude, le chiffre annoncé en août dernier s’élevait à 4,950 millions € auxquels il faut ajouter les frais d’étude (+/- 500.000 €), de parking et de la liaison douce entre l’école et Dorinne ; ce qui laissait supposer une dépense d’environ 6 millions €. Plus de 60 % plus cher que le coût annoncé il y a 3 ans. Il restait à voir si les offres sollicitées correspondaient aux estimations.

Comme à notre habitude, nous avons tenu à suivre ce dossier de près et, lors de la séance du Conseil communal de janvier dernier, nous avons interrogé la majorité sur les offres reçues, leur analyse et les conclusions à en tirer. Et le bourgmestre d’admettre que les offres présentaient des chiffres entre 20 et 30% plus élevés que les estimations. Non sans ajouter que la représentante de la Fédération Wallonie-Bruxelles (qui subsidie ce dossier pour 3,3 millions €) commençait à trouver également ce budget excessif.

Au nom du groupe EPY, Géraldine Biot-Quevrin a demandé à la majorité ce qu’elle comptait faire vu la situation. Ce à quoi le bourgmestre a répondu que le Collège réfléchissait à différentes options pour faire baisser la note : phasage, relance d’une nouvelle procédure de marché public et de consultation des entreprises, … le tout en concertation avec la Fédération Wallonie-Bruxelles. Si nos élus concèdent volontiers qu’il y a peut-être moyen d’épargner quelques miliers d’euros ci ou là, ils se sont montrés dubitatifs quant à la possibilité d’atteindre 1 million € d’économie pour en revenir à l’estimation du bureau d’étude.

Le dossier reviendra sur la table du Conseil ce lundi 26 février avec, en effet, la proposition d’une nouvelle procédure de marché. Nous serons particulièrement attentifs aux arguments que la majorité ne manquera pas d’exposer pour maintenir le cap dans ce projet en dépit de la situation de plus en plus compliquée. Et nous ne manquerons pas de vous tenir bien évidemment informés de ce qui sera décidé.

Le temps presse…

Pour rappel, les travaux doivent être terminés pour juin 2026 au risque de tout simplement perdre les subsides. Un peu plus de deux ans pour boucler la procédure d’attribution du marché et réaliser le projet nous semble de plus en plus compliqué, d’autant qu’on n’est jamais à l’abris d’imprévus et autres retards. Vu les montants en jeu, il ne faudrait pas que l’entêtement de la majorité, y compris à vouloir se projet quoi qu’il en coûte aux deniers communaux, nous fasse perdre le précieux subside et que l’ensemble de l’investissement soit à charge de la commune.

Purnode : un nouveau complexe dont la gestion pose question

Purnode : un nouveau complexe dont la gestion pose question

Il y a quelques semaines, le nouveau complexe sportif de Purnode a été inauguré. Si nous n’avons aucun problème quant à la conception et à la réalisation du bâtiment, le montage du dossier, l’absence d’optimalisation financière et, in fine, la gestion du bâtiment sont le reflet d’une précipitation politique indigne d’élus actuels.

Rétroactes

L’idée de rénover cette salle purnodoise est née sous la précédente mandature, au moment où l’ancienne Salle Saint-Remacle était en vente par son propriétaire, la Brasserie du Bocq. La majorité de l’époque (dont EPY faisait partie) a estimé que 2 salles étaient suffisantes pour le village (le patronage et le complexe) et qu’il n’était donc pas opportun d’envisager l’achat d’une 3ème. Cependant, en parallèle, nous décidions d’étudier les possibilités d’amélioration de la salle du Complexe sportif. Face au premières estimations reçues pour les travaux (on dépassait déjà les 6 à 700.000 € à l’époque), il était pour nous inconcevable que la commune prenne cette dépense totalement à sa charge et nous décidions de le proposer comme nouveau projet dans le programme de l’actuel ou futur PCDR. Grâce à ce mécanisme, nous pouvions obtenir jusqu’à 80% de subsides, avantage non négligeable même si la procédure d’élaboration du dossier était nettement plus longue. Seul l’échevin M. Colet était contre cette stratégie et voulait “aller vite”, quitte à se passer de ces subsides aussi intéressants et donc à faire perdre de l’argent à la commune. Dans la mesure où ces travaux étaient attendus mais pas d’une urgence impérieuse, le délai n’était pas un problème. Et les autres membres de la majorité s’étaient fort heureusement rangés derrière l’option permettant d’optimaliser les deniers communaux.

La majorité se précipite … et perd au moins 400.000 € !

L’idée est revenue sur la table de la nouvelle majorité dès le début de cette mandature. Et il semble que la voix de ce même échevin ait cette fois fait mouche puisque le projet a démarré mais avec, comme source de subsides, le Plan d’Investissement Communal permettant de décrocher “seulement” 300.000 € auprès de la Région wallonne ; alors que le PCDR aurait pu nous faire avoir entre 7 et 800.000 € de subsides. Une précipitation injustifiée qui coûte donc pas moins de 400.000 € à la caisse communale et que nous dénonçons depuis plusieurs années, en vain.

Une décision d’autant plus inconsciente que le coût des travaux – qui ne devaient au départ pas dépasser les 600.000 € (engagement soi-disant ferme de l’actuelle majorité…) – se chiffrent aujourd’hui à plus de 1,1 million €.

Nonobstant cet aspect financier, la conception du projet et sa réalisation sont très satisfaisantes. Tant l’auteur de projet que les diverses entreprises qui se sont succédés ont très bien travaillé et offrent un bâtiment de qualité, très accueillant pour les divers utilisateurs.

… et ne parlons pas des formalités de mise en gestion !

Cette note positive aurait dû suffire à boucler ce dossier, mais c’était sans compter sur les discussions et autres formalités liées à la gestion du bâtiment par la nouvelle asbl créée pour l’occasion. Si on salue sans équivoque la bonne volonté et la disponibilité des bénévoles qui la composent, ça ne doit pas pour autant éclipser la rigueur nécessaire à sa constitution et les conditions de mise en gestion que la commune impose. Et c’est ainsi que nos 3 élus ont égrainé durant plusieurs minutes divers éléments démontrant une nouvelle précipitation mais surtout des anomalies et un manque de concertation dans cette ultime étape du dossier :

  • une asbl dont les instances ne sont pas conforment à la Loi
  • la commune qui veut unilatéralement lui confier la gestion de l’ensemble du site – y compris les terrains de pétanque, de foot, la plaine de jeux, etc. – sans jamais l’avoir concerté avec qui que ce soit au préalable et faisant fi des lourdes responsabilités quelle fait dès lors poser aux responsables de l’asbl
  • un plan financier dont certains chiffres paraissent déconnectés de la réalité
  • un prêt de 12.000 € de la part de la commune au profit de l’asbl, dès cette année 2024, sans la moindre garantie que les fonds serviront bel et bien à l’achat d’équipements ni sans obligation de les utiliser tout de suite

Nous avons également regretté que la commune n’ait pas fait en sorte de répondre aux objections des clubs sportifs, de les rassurer et de leur permettre d’intégrer l’organe de gestion. Et aussi qu’elle consente à valider une convention de gestion avec une asbl dont les statuts contiennent des mentions inédites et qui démontrent davantage une volonté de tenir certaines personnes à l’écart qu’un réel sens de l’ouverture et du consensus.

Face à ces éléments, nous avons proposé un report du point le temps des améliorations nécessaires. Alors que nous nous attendions à ce que ce soit le cas vu les propos tenus par plusieurs membres de la majorité (qui semblaient acquiescer à nos remarques) et vu aussi le fait que le Bourgmestre, visiblement interpellé par nos propos, réclama (pour la première fois dans l’histoire politique de la commune) une suspension de séance pour s’entretenir avec “sa” majorité, quelle ne fut pas notre surprise de voir le point mis au vote moyennant quelques adaptations à la marge mais validant sans condition supplémentaire la convention de gestion avec ladite asbl. Si cette attitude ne nous étonne pas dans le chef de l’échevin en charge du dossier (qui est par ailleurs membre de ladite asbl…), nous sommes particulièrement surpris et déçus par la légèreté avec laquelle les autres élus de la majorité ont finalement expédié ce dossier manifestement bancal.

Nous espérons que la nouvelle mandature communale permettra de corriger le tir ; nous y serons en tous cas attentifs.

Ecole de Dorinne-Spontin : budget explosé

Ecole de Dorinne-Spontin : budget explosé

Ce dossier, qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, a franchi une nouvelle étape fin-septembre avec le vote par le Conseil communal du cahier des charges des travaux. Toujours dubitatif par la manière dont a été amené ce projet et par ses conséquences, budgétaires notamment, EPY s’est abstenu.

Explications :

Un dossier de nouvelle école est souvent enthousiasmant, tant pour les élus locaux que pour les futurs utilisateurs (enfants, parents, équipe pédagogique, …). Ici, on est loin, très loin même ! En cause : le manque de concertation – notamment avec les parents et les villageois – et l’absence de toute analyse objective d’autres solutions potentiellement moins coûteuses et surtout permettant de maintenir l’enseignement sur les sites actuels. Et nous le regrettons depuis le début.

La majorité a toujours justifié son empressement et son impossibilité à travailler autrement par l’appel à projets pour des subsides européens annoncé en fin 2020 de manière impromptue et auquel il fallait répondre dans un délai record. Sauf que c’est une fausse excuse puisque la majorité annonçait déjà ce projet lors d’un conseil communal mi-2019. Ce qui nous laisse penser que le choix du site et de la fusion était décidé depuis longtemps et qu’aucun argument n’aurait été assez bon pour briser l’entêtement de certains élus… mais qui pose aussi les questions suivantes : qu’a-t-elle fait entre temps, pourquoi n’a-t-elle pas réalisé les analyses et autres concertations utiles ?

En dépit des remarques formulées courant 2021, tant par des villageois que par nous, un bureau d’architecture a été missionné, lequel a réalisé une esquisse et a rédigé la demande de permis d’urbanisme et le cahier des charges pour la réalisation.

Le permis a été attribué par le Fonctionnaire délégué en juillet dernier et le Conseil communal a validé fin août le cahier des charges ainsi que la procédure de marché public pour débuter le chantier.

Comme notre Conseiller communal Bertrand Custinne a pu le déclaré en séance du Conseil, « le projet est plutôt bien conçu sur le plan architectural et éducatif. Mais plusieurs regrets demeurent quant à l’accès, au parking, au respect du voisinage, etc. ». Sans compter le budget qui a littéralement explosé en passant de 3,3 millions (le cadre imposé par la majorité en avril 2021) aux 4,950 millions € de l’estimation actuelle du chantier. Somme à laquelle, de l’aveu même de l’Echevin des Travaux Marcel Colet, il faudra encore ajouter l’aménagement de parkings, de la liaison cyclopédestre jusqu’à Dorinne, etc. sans oublier les frais d’étude, ce qui devrait nous amener entre 5,5 et 6 millions € de dépenses !

Que ce soit sur la forme ou le fond, chacun appréciera la manière dont ce projet a été monté et qui devrait voir le jour d’ici fin 2026.

Espérons toutefois que les enfants l’apprécieront et prendront un maximum de plaisir à suivre leurs cours dans ces nouveaux locaux…

Entretien des espaces publics

Entretien des espaces publics

De nombreux bords de routes, cimetières, plaines de jeux et autres espaces publics manquent cruellement d’entretien et offrent une triste image de nos villages. Renseignements pris, malgré leur bonne volonté, nos hommes des travaux ne savent plus suivre.

Nous avons interrogé le Collège sur ce sujet lors du Conseil communal de ce lundi 26 juin.

Les causes sont diverses : des hommes de plus en plus déployés pour les festivités locales, l’interdiction des herbicides, une défaillance technique du bras de fauche du tracteur et un retard pris dans la verdurisation des cimetières (pour aboutir à de belles bandes de gazon entre les sépultures).

La majorité, qui regrette aussi ce constat, s’est engagée à nous fournir davantage de précisions et surtout des solutions pour améliorer la situation. De notre côté, nous avons d’ores et déjà demandé :

  • d’accélérer le processus de végétalisation des cimetière,
  • un meilleur équlibre dans les aides humaines aux associations locales
  • la possibilité d’engagements de saisonniers

Comme nous l’avons déjà déclaré, avant d’initier des nouveaux projets ci et là, commençons par bien entretenir ce qui existe en y mettant les moyens nécessaires !

Nous vous tiendrons au courant des réponses qui nous serons transmises lors de la prochaine réunion du Conseil communal…