Auteur/autrice : BC

Budget 2024 : des dépenses et des emprunts records

Budget 2024 : des dépenses et des emprunts records

Comme chaque année, le dernier conseil de décembre a été l’occasion de parler « gros sous » avec les discussions et le vote du budget 2024. Pour le dernier exercice du style de cette législature, la majorité n’a pas ménagé ses efforts pour… envisager plus de 26 millions € de dépenses et ainsi exploser tous les records, y compris au niveau des emprunts ; ce qui a justifié le vote négatif des élus EPY.

A Yvoir, entre les dépenses récurrentes et les nouveaux investissements, on avait l’habitude d’avoir un budget avoisinant les 16-17 millions €. Avec plus de 26 millions de dépenses envisagées pour cette nouvelle année, jamais les finances communales n’auront été autant sous tension. Et la majorité de tenter de se justifier par l’indexation des salaires, une augmentation de la dotation du CPAS et des gros projets qui sortent en même temps. Raisons objectivement correctes mais ça n’en est pas moins réducteur ! Explications :

Dépenses de personnel : ce poste s’élève à environ 7 millions € ; soit une augmentation de 50% rien que sous cette législature. Si celle-ci s’explique en partie par l’indexation des salaires relative à la forte inflation de ces dernières années, il nous faut aussi pointer le choix délibéré de la majorité de recourir et d’engager un certain nombre d’agents avec un profil de bachelier ou d’universitaire. Si on peut partager cette décision pour l’un ou l’autre « poste-clé » dont la technicité requiert un certain degré de connaissances, nous maintenons qu’il n’était peut-être pas indispensable d’avoir autant de profils de ce type ou d’ouvrir des procédures de promotion à ce point « généreuses ». Il n’empêche qu’il faut désormais assumer et que ça pèse lourdement sur le budget.

De nouveaux emprunts pour 10 millions €.

La charge de la dette (ou le remboursement des emprunts et des intérêts qui y sont liés) est, ici aussi, en forte augmentation. De 886.000 € en 2018, ce chiffre annoncé (sur papier…) pour 2024 est de 1.255.000 € mais devrait – comme confirmé par le Bourgmestre lors de la dernière séance du Conseil communal, bondir à 1,5 voire 1,6 million € pour 2025 ! En cause : près de 10 millions € à emprunter en 2024 pour financer la part non-subsidiée de quelques « gros dossiers » (école de Dorinne-Spontin, salle de Mont, agrandissement de l’hôtel de ville, …).

La combinaison de toutes ces données, de la hausse des dossiers d’aide sociale (via le CPAS) et d’un tassement légitime des recettes fiscales ont eu pour effet d’afficher un résultat négatif de ce budget. Heureusement, des provisions sont disponibles et ont permis d’équilbrer le budget mais utiliser le bas de laine communal pour éponger des dépenses qu’on aurait pu mieux anticiper ou limiter n’est pas une solution durable. Sans compter que, notamment pour la question des emprunts, leur conséquence sur nos finances et nos capacités d’investissement vont se faire ressentir durant 15-20 ans au minimum ! Pour EPY, ce n’est pas la gestion saine et responsable que nous sommes en droit d’attendre.

Côté investissements…

On retrouve notamment la nouvelle école de Dorinne-Spontin (environ 6 millions €), les travaux de la salle La Victorieuse à Evrehailles, l’agrandissement de l’hôtel de ville (+ de 2 millions €), la rénovation de la rue du Redeau à Yvoir (+ d’1 million €)…

Au nom du groupe EPY, Bertrand Custinne a regretté qu’aucun crédit ne soit prévu pour l’entretien des espaces publics – et notamment des cimetières – alors que la majorité s’y était engagée il y a quelques mois… alors que les deux groupes de la majorité maintiennent des crédits de plusieurs centaines de milliers d’euros dans des dispositifs cyclopédestres à des endroits dont le caractère indispensable n’a toujours pas été démontré !

Nous avons également suggéré une participation des carrières aux travaux de la rue du Redeau (dont l’état est clairement imputable au charrois des camions toujours plus nombreux et plus lourds).

Ces différentes explications ont largement justifié le vote négatif que nous avons posé sur ce budget préparé par les groupes LB et La Relève.

Purnode : un nouveau complexe dont la gestion pose question

Purnode : un nouveau complexe dont la gestion pose question

Il y a quelques semaines, le nouveau complexe sportif de Purnode a été inauguré. Si nous n’avons aucun problème quant à la conception et à la réalisation du bâtiment, le montage du dossier, l’absence d’optimalisation financière et, in fine, la gestion du bâtiment sont le reflet d’une précipitation politique indigne d’élus actuels.

Rétroactes

L’idée de rénover cette salle purnodoise est née sous la précédente mandature, au moment où l’ancienne Salle Saint-Remacle était en vente par son propriétaire, la Brasserie du Bocq. La majorité de l’époque (dont EPY faisait partie) a estimé que 2 salles étaient suffisantes pour le village (le patronage et le complexe) et qu’il n’était donc pas opportun d’envisager l’achat d’une 3ème. Cependant, en parallèle, nous décidions d’étudier les possibilités d’amélioration de la salle du Complexe sportif. Face au premières estimations reçues pour les travaux (on dépassait déjà les 6 à 700.000 € à l’époque), il était pour nous inconcevable que la commune prenne cette dépense totalement à sa charge et nous décidions de le proposer comme nouveau projet dans le programme de l’actuel ou futur PCDR. Grâce à ce mécanisme, nous pouvions obtenir jusqu’à 80% de subsides, avantage non négligeable même si la procédure d’élaboration du dossier était nettement plus longue. Seul l’échevin M. Colet était contre cette stratégie et voulait « aller vite », quitte à se passer de ces subsides aussi intéressants et donc à faire perdre de l’argent à la commune. Dans la mesure où ces travaux étaient attendus mais pas d’une urgence impérieuse, le délai n’était pas un problème. Et les autres membres de la majorité s’étaient fort heureusement rangés derrière l’option permettant d’optimaliser les deniers communaux.

La majorité se précipite … et perd au moins 400.000 € !

L’idée est revenue sur la table de la nouvelle majorité dès le début de cette mandature. Et il semble que la voix de ce même échevin ait cette fois fait mouche puisque le projet a démarré mais avec, comme source de subsides, le Plan d’Investissement Communal permettant de décrocher « seulement » 300.000 € auprès de la Région wallonne ; alors que le PCDR aurait pu nous faire avoir entre 7 et 800.000 € de subsides. Une précipitation injustifiée qui coûte donc pas moins de 400.000 € à la caisse communale et que nous dénonçons depuis plusieurs années, en vain.

Une décision d’autant plus inconsciente que le coût des travaux – qui ne devaient au départ pas dépasser les 600.000 € (engagement soi-disant ferme de l’actuelle majorité…) – se chiffrent aujourd’hui à plus de 1,1 million €.

Nonobstant cet aspect financier, la conception du projet et sa réalisation sont très satisfaisantes. Tant l’auteur de projet que les diverses entreprises qui se sont succédés ont très bien travaillé et offrent un bâtiment de qualité, très accueillant pour les divers utilisateurs.

… et ne parlons pas des formalités de mise en gestion !

Cette note positive aurait dû suffire à boucler ce dossier, mais c’était sans compter sur les discussions et autres formalités liées à la gestion du bâtiment par la nouvelle asbl créée pour l’occasion. Si on salue sans équivoque la bonne volonté et la disponibilité des bénévoles qui la composent, ça ne doit pas pour autant éclipser la rigueur nécessaire à sa constitution et les conditions de mise en gestion que la commune impose. Et c’est ainsi que nos 3 élus ont égrainé durant plusieurs minutes divers éléments démontrant une nouvelle précipitation mais surtout des anomalies et un manque de concertation dans cette ultime étape du dossier :

  • une asbl dont les instances ne sont pas conforment à la Loi
  • la commune qui veut unilatéralement lui confier la gestion de l’ensemble du site – y compris les terrains de pétanque, de foot, la plaine de jeux, etc. – sans jamais l’avoir concerté avec qui que ce soit au préalable et faisant fi des lourdes responsabilités quelle fait dès lors poser aux responsables de l’asbl
  • un plan financier dont certains chiffres paraissent déconnectés de la réalité
  • un prêt de 12.000 € de la part de la commune au profit de l’asbl, dès cette année 2024, sans la moindre garantie que les fonds serviront bel et bien à l’achat d’équipements ni sans obligation de les utiliser tout de suite

Nous avons également regretté que la commune n’ait pas fait en sorte de répondre aux objections des clubs sportifs, de les rassurer et de leur permettre d’intégrer l’organe de gestion. Et aussi qu’elle consente à valider une convention de gestion avec une asbl dont les statuts contiennent des mentions inédites et qui démontrent davantage une volonté de tenir certaines personnes à l’écart qu’un réel sens de l’ouverture et du consensus.

Face à ces éléments, nous avons proposé un report du point le temps des améliorations nécessaires. Alors que nous nous attendions à ce que ce soit le cas vu les propos tenus par plusieurs membres de la majorité (qui semblaient acquiescer à nos remarques) et vu aussi le fait que le Bourgmestre, visiblement interpellé par nos propos, réclama (pour la première fois dans l’histoire politique de la commune) une suspension de séance pour s’entretenir avec « sa » majorité, quelle ne fut pas notre surprise de voir le point mis au vote moyennant quelques adaptations à la marge mais validant sans condition supplémentaire la convention de gestion avec ladite asbl. Si cette attitude ne nous étonne pas dans le chef de l’échevin en charge du dossier (qui est par ailleurs membre de ladite asbl…), nous sommes particulièrement surpris et déçus par la légèreté avec laquelle les autres élus de la majorité ont finalement expédié ce dossier manifestement bancal.

Nous espérons que la nouvelle mandature communale permettra de corriger le tir ; nous y serons en tous cas attentifs.

Avenir des villages : votre avis d’abord !

Avenir des villages : votre avis d’abord !

Des finances et une administration communales sous tension, des procédures et des contraintes de plus en plus lourdes, une majorité qui se déchire, … sont autant de paramètres qui mettent à mal l’aboutissement de projets. Et vous en êtes les premières “victimes”.

Malgré ce contexte, nous espérons maintenir un maximum de prestations et de projets dans les années à venir mais ça exigera rigueur et créativité, y compris sur le plan budgétaire sous peine de ne plus être en mesure de réaliser de grands investissements à moyen terme ou, pire, de prendre le risque d’une mise sous tutelle.

« Faire mieux avec moins » et « nous concentrer sur ce qui compte vraiment » seront les fils conducteurs de notre travail. Mais pour identifier le plus justement possible ce qui est important à vos yeux, nous avons besoin de votre avis. Et nous allons travailler en 2 temps :

  1. d’abord via une enquête que nous vous proposons de compléter pour le 15/2 via ce lien.
  2. ensuite, si vous le souhaitez, en participant aux rencontres citoyennes que nous organiserons aux dates suivantes :
  • Mardi 12 mars à 20h à l’Espace 27, rue Grande à Godinne
  • Mercredi 20 mars à 20h à la salle Saint-Fiacre, rue du Vieux Château à Dorinne
  • Jeudi 4 avril à 20h au local de la Balle pelote, rue de Mianoye à Durnal
  • Mercredi 17 avril à 20h à la cafétéria du Maka (rez-de-chaussée) à Yvoir

Tout ne sera sans doute pas réalisable, des choix clairs devront être posés et nous en discuterons ensemble en toute transparence et sincérité, dans le respect des valeurs de notre groupe (que vous pouvez par ailleurs retrouver sur notre site).

Merci déjà pour votre précieuse collaboration !

De la complémentarité, de la cohérence et de la transparence

De la complémentarité, de la cohérence et de la transparence

A un an du prochain scrutin communal, le groupe Ensemble Pour Yvoir (EPY) a profité de son souper annuel (qui a rassemblé plus d’une centaine de personnes) pour lancer sa campagne. Face aux deux autres listes qui siègent ensemble dans l’actuelle majorité et qui sont donc, l’une comme l’autre, responsables des choix actuels et de leurs conséquences (positives ou non), face aussi au double langage de certains élus de cette majorité qui critiquent les choix posés tout en les approuvant, EPY se veut très clairement être la voie de l’alternative, du changement et gage de sérieux.

Chez EPY, l’heure n’est pas au casting même si nous pouvons déjà annoncer que les quatre mandataires sortants (Bertrand Custinne, Géraldine Biot-Quevrin, Thierry Lannoy et Thierry Lessire qui siège au CPAS) figureront sur la liste 2024. Nous mettons la priorité sur le projet et la vision que nous voulons proposer à nos concitoyens et la manière selon laquelle nous voulons travailler. Et, dans cet objectif, nous rassemblons actuellement des citoyens de tous horizons (professionnels, géographiques, domaines d’expertise, sensibilités, …). Certains seront candidats, d’autres pas mais notre but premier est d’avoir une équipe la plus représentative et la plus expérimentée possible. Une équipe qui œuvrera non seulement autour d’un programme politique mais avant tout autour de valeurs communes de démocratie, de respect, de bonne gouvernance et surtout de transparence et de sincérité ; une sorte d’ADN qui est le commun dénominateur entre nous tous depuis la création de l’équipe et que chacun peut retrouver sur notre nouveau site www.epy-yvoir.be.

Vu la situation de notre administration communale et les perspectives financières, même les plus optimistes, une autre vision est nécessaire.

Il s’agira de faire mieux avec moins, d’être créatif, de ramener de la sérénité, … non sans une touche de modernité pour répondre aux enjeux du moment.

Bertrand Custinne

C’est dans cette perspective que le groupe EPY s’inscrit. Nous pensons pouvoir apporter quelque chose de neuf et de bienveillant pour l’avenir de nos villages et de notre administration et nous espérons partager ces objectifs avec un grand nombre d’électeurs.

Notre souhait est de revenir dans la majorité communale pour pouvoir concrétiser les objectifs et autres propositions que nous nous fixons. Mais ce n’est pas une fin en soi et nous partons d’ailleurs les « mains libres » vers ces élections. Le plus important pour nous n’est pas d’être au pouvoir à tout prix mais d’identifier ce que chacun peut apporter, ce qu’on peut faire pour notre commune et comment le faire. Et donc, si l’électeur nous en donne le signal et si nous sommes amenés à négocier un accord de majorité, nous serons attentifs à la volonté de travailler différemment, tant sur les priorités qu’au niveau de la méthodologie utilisée. Nous sommes prêts à travailler avec des élus qui s’appliquent, qui se plongent et maîtrisent leurs dossiers, qui les mènent en concertation avec tous les acteurs concernés. Nous ne montrons pas dans un attelage communal pour faire de la figuration, ni au prix de comprissions et encore moins pour obtenir l’un ou l’autre mandat. L’annoncer dès maintenant est aussi un exercice de transparence à laquelle nous tenons. EPY reste ouvert pour celles et ceux qui partageraient cette vision ou qui auraient envie de partager l’une ou l’autre suggestion.

Personnel communal à bout de souffle : une inaction incompréhensible

Personnel communal à bout de souffle : une inaction incompréhensible

Comme nous l’avons déjà écrit (voir notre article de juillet dernier sur le sujet), la situation et l’ambiance de travail au sein de l’administration communale ne cessent de se détériorer depuis 2-3 ans, au point de devoir constater plusieurs absences pour burn-out et/ou démissions. Rien qu’en ce mois de septembre, ce sont 2 agents du service technique – dont le responsable – qui ont jeté l’éponge. Du jamais vu dans l’histoire de la commune d’Yvoir. Cette hémorragie doit cesser. Tant le politique que le haut management de l’administration doivent en prendre conscience et faire de ce problème la première priorité ; non seulement pour le bien-être des agents mais aussi parce que sans eux et sans une administration performante, ce sont tous les dossiers et le service aux citoyens qui s’en trouvent pénalisés.

Petit rappel des faits :

Cela fait plusieurs années qu’on s’inquiète du malaise grandissant au sein du personnel communal alors que nous avons globalement des agents de qualité et motivés. Entre le turn-over (selon nos chiffres, on est quand même à 18 départs, licenciements ou démissions sur 4 ans…), les congés de maladie, les burn-out et autres démotivations, la situation était préoccupante. Même si elle est arrivée plus tard qu’espérée, nous avons salué la décision du Collège d’avoir lancé une procédure en 2022 pour objectiver les problèmes. Après un sondage anonyme réalisé au sein des employés et ouvriers, un rapport reprenant les incidents et autres points à améliorer ainsi qu’un plan d’actions ont été élaborés et présentés fin juin au Conseil communal ainsi qu’au personnel.

Tout comme certains agents, nous n’étions pas convaincus que toutes les propositions soient pertinentes ni que chacun prenne conscience de ses responsabilités et du pas qu’il(elle) doit sincèrement faire pour améliorer la situation. Mais nous nous sommes montrés optimistes, constructifs et nous avons insisté auprès de la majorité et de la Directrice générale sur le fait que, bien plus que des actions ou des petits gestes, c’est un état d’esprit constructif, apaisant, reconnaissant et cohérent que nos agents attendent.

2 nouvelles démissions …

L’annonce de nouveaux départs n’a fait que confirmer notre intention de réaborder, en séance du Conseil communal du 25 septembre dernier, cet épineux dossier et de faire un bilan des actions envisagées. A notre demande et en l’absence de la Directrice générale (qui a la charge de la concrétisation dudit plan d’actions en sa qualité de responsable du personnel), le Bourgmestre a repris point par point ce qui était au planning des mois de juillet, août et septembre. Nous avons acté que quelques objectifs étaient faits mais la plupart – dont des points essentiels comme l’élaboration des profils de fonction – étaient toujours en cours ou même pas démarrés.

Un manque de temps serait à l’origine du retard pris. Et, de l’aveu même du Bourgmestre au micro de Ma Télé après le Conseil, la période de vacances peut expliquer certaines choses. Mais qui peut croire qu’en élaborant le planning il y a 3-4 mois, la Direction de la Commune ne savait pas ou n’ait pas intégré que des vacances se profilaient à l’horizon ? Utiliser cette excuse pour justifier des engagements non-tenus est un peu faible ! C’est soit un problème d’anticipation, soit de réalisme dans la planification, soit de priorisation. En tout état de cause, alors qu’on pouvait espérer l’inverse, cette situation est la démonstration que le problème continue à ne pas être géré avec l’attention qu’il requiert et c’est un mauvais signal donné aux collaborateurs. Nous avons donc insisté en séance sur les 3 points suivants :

  1. La nécessité d’avancer sur le plan d’actions et, de facto, de respecter les engagements pris et les deadlines que le Collège et la Direction générale se sont eux-mêmes fixés, quitte à mettre certains dossiers qui le peuvent sur « pause »
  2. Finaliser prioritairement les profils de fonction de chaque agent. Ceci permettra d’entamer ensuite les évaluations de chacun, en commençant par les hauts responsables, qui seront l’occasion d’écouter et de pointer les points forts autant que les choses à améliorer.
  3. La nécessité d’efforts en tous sens et d’adopter notamment une attitude reconnaissance, bienveillante et rassurante pour le personnel.

Montrons tous ensemble que l’apaisement et le bien-être du personnel est notre priorité et ça ne sera que profitable pour eux, pour nous et pour tous les projets en cours ou à venir. Plus vite les services seront pleinement opérationnels et plus on concrétisera ce que les citoyens espèrent et attendent de nous. Le groupe EPY continuera à suivre de très près l’évolution de la situation.